Deux ans et promesses non tenues.

Je vous avais promis de nouvelles interviews, de nouvelles date, mais après deux ans, rien... Même pas la chronique du fabuleux "Non Stop" du projet de Sandra, Die Sandra P. Bremen Zerstörung, paru l'an passé.

Tout d'abord, les dates prévues en décembre 2017 et janvier 2018 n'ont pu avoir lieu pour quelques soucis de santé chez Friedrich, rien de grave cependant (selon lui!).

Ensuite, pas d'interview car je n'ai tout simplement pas eu trop de nouvelles et la venue de ces deux albums est une réelle surprise pour moi. Un mail laconique de Friedrich: "Nouveaux produits, tu viens quand tu veux". C'est tout. Et je suis venu!

Deux albums donc, et deux projets. "Onofucks", nouveau Muralism: extrêmement sombre aussi bien dans l'écriture que dans les sons, la bande trouvant de plus en plus son "bonheur" dans une musique âpre qui ne le respire visiblement pas: c'est lourd, les basses sont ultra-présentes et hargneuses, les guitares de plus en plus en roue libre, les voix n'ont rien perdu en efficacité. Un son cependant plus direct, plus dépouillé, du moins à la première écoute.

MASKB est une curiosité (même si on est habitué à ce genre de changement de nom selon les projets et les propos de celui-ci) puisqu'il s'agit du même groupe sans Friedrich, un disque de filles donc, mais d'une extrême violence! Je reviendrai plus tard aux chroniques de ces deux pépites.

Quant à l'interview, elle est dans la boîte et sera sur ce blog fantôme sous peu.